mardi 7 juillet 2009

Entre deux averses

5 kilo, à poser un pied devant l'autre

Il a cessé de pleuvoir vers midi. Je me suis sauvé, j'avais besoin de réactiver mes jambes après plusieurs jours à concentrer sur le haut de mon corps. J'ai fais la boucle des ponts, en prenant soin de passer derrière le Musée pour tenter d'y apercevoir mon grand au camps de jour, pour voir ses grands yeux quand il m'aperçoit tout en sueur mais qui continue, dans l'effort. Mes enfants sont fiers de moi, de ma forme physique, de mon énergie. Parfois par contre, la fierté fait place à la grogne, quand j'entraîne ceux-ci dans mes moments plus physique, comme la randonnée en vélo d'hier soir. Ils auraient préféré jouer à l'ordi, of course.

Finalement, avec le temps encore gris, il n'y avait que les touristes, pris malgré eux à profiter des attractions du center-ville. J'ai poussé fort au 4ème kilo jusqu'au parlement. Puis là, j'ai eu envie de m'amuser un peu, avec ces touristes, d'abord en m'assurant de passer entre le photographe et le modèle. Mais bon, après 3, j'ai eu des remords de conscience dans la petite famille asiatique clic-clic... J'ai offert, par signe de main et de sourire, de jouer la photographe pour eux, pour qu'aucun membre des cette famille de touriste intergénérationnelle ne manque sur la, que dis-je, les photos. Ils ont acceptés, of course.

J'ai marché le dernier kilo, Nikon en main, clic-clic, en leur pointant une statut puis une autre sur la Colline, puis en les laissant s'y adosser pour clic-clic. Ils sont persistant, les touristes, puisqu'au nombre de statuts présentes, et même si je m'y promène régulièrement, je ne compte pas assimiler toute l'histoire derrière chacune de celle-ci, of course.

En musique, question de pouvoir m'époumonner dans une semaine, j'ai concentré sur Stone Temple Pilots mais j'ai utilisé ceci pour la montée de la Colline:

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