mardi 22 septembre 2009

dans les mots

plusieurs kilo via un pédalier, sans roue

Manque de précision, c'était une journée où j''avais plutôt la tête à rêver. Ayant ce matin fait une partie de mes lectures scolaires obligatoires, ce midi j'ai chois de rester sur place. Légèrement cambrée sur un vélo de spinning, j'ai dévorer l'avant-dernière cinquantaine de page de mon roman de transport actuel. Oui oui, de transport, puisqu'il y a aussi celui de chevet, celui de baignoire et sans oublier le légendaire roman du trône. Et ce dernier, ce n'est pas n'importe quoi, c'est un Noam Chomsky. De quoi vous donnez envie de faire ça vite, ou d'y passer un moment, selon les goûts!

Alors, dans mes runnings alors que ma sueur perlait sur mon corps presqu'immobile, je constatais, encore et comme depuis le début de ma découverte de la trilogie (5 tomes pour un total de 3 330 pages format poche) de Jean-Jacques Pelletier, comme celui était visionnaire (écrit il y a plus de 10 ans) malgré qu'il s'agisse d'une fiction économique et sociale (.. je l'espère?!). Ce soir, je compte bien terminer celui-ci, avant de devoir me mettre à mon premier (de trois) travail de session.

En décembre, après mon dernier cours, alors que je serai en vol pour la playa, je pourrai alors de nouveau me replonger dans l'univers parallèle mais tellement actuel des Gestionnaires de l'apocalypse.

Puis comme j'aime les mots, comme j'aime apprendre, comme j'aime leur musique, je suis depuis quelques jours à laisser mon non-conscient assimiler ceux-ci:

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