lundi 29 juin 2009

Je voulais la pluie. J'ai eu un éclaircie.

5km, à mi-chemin entre mon R1 et mon R2

.. ce qui me tracasse. Je me retrouve entre deux. Devrais-je me bâtir une cédule par intrapolation entre les deux objectifs de temps, soit 10 km en 66 minutes? Ou devrais-je viser 64 minutes et risquer de ne pas atteindre mon objectif, en plus d'augmenter les risques divers, tel que blessures, fatigues ou découragement découlant d'échecs répétitifs à l'entraînement? Devrais-je ralentir mon rythme?

Ça, c'est donc ce que j'ai tenté ce midi, sans succès. Maintenant que j'analyse la chose, que j'ajoute un vent de face d'une quinzaine de km pendant deux longues sections, que je considère les différences des sols ajoutant à l'effort, comme la pente descendante importante à deux reprises suivi de longues mais faibles pentes ascendantes, faisant alterner le travail des muscles jambiers et jumeaux développant un effort non-constant sur ceux-ci...'nough said. cette analyse pourrait être sans fin, jusqu'aux écouteurs de mon iPod refuse de demeurer en place qui me faisait briser la cadence de mes bras. Assez donc.

J'ai évité la Colline, à cause des festivités. Puis l'hôtel est à pleine capacité, des touristes de toutes les nationalités. Je n'avais pas envie des flashs des appareils-photos mais de les observer au repos, dans leurs habitudes (ou presque, pour ce qu'on peut garder de nos habitudes dans un hôtel) m'a fait sourire, réfléchir, à la chance qu'ils ont de venir célébrer avec nous, sur ce qui les poussent à le faire aussi. Ça, c'est ce qui m'éblouie encore plus. Et moi, comme blasée des décisions de ce gouvernement, je serais bien allez visiter Las Vegas cette semaine, aux aubaines disponibles en cette période économique difficile pour nos voisins du Sud.

Bombe musicale du jouer, au 4ème km - la relation que j'entretiens avec la course.


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